Clou de l’exposition, La Bruja (La Sorcière) entremêle près de… 6 300 kilomètres de fil. A 69 ans, Cildo Meireles, plasticien et sculpteur brésilien, connu pour sa résistance artistique à l’oppression politique brésilienne, a réinstallé cette œuvre monumentale, présentée pour la première fois en 1979 à la Biennale d’art de Sao Paulo. « Cette pièce représente le chaos : elle parle d’un désordre dominé par un balai, qui donne finalement un sens à cette désorganisation », explique l’artiste.
20 minutes , mercredi 06 septembre 2017