Se souvenant de son emerveillement à chaque fois qu’il prenait le train Paris-Istanbul – comme les voyages immobiles qu’il faisait tout seul dans la cour d’une épicerie -, Njami invite à regarder de l’autre côté du voyage : « si l’on considérait les migrants comme des voyageurs, peut être les traiterait-on autrement ? » avance-t-il.
Art Absolument , vendredi 17 mars 2017